Au terme de 3 années de recherches concernant des patients diagnostiqués Alzheimer, nous annonçons des résultats qui peuvent paraître surprenants *
Notre démarche est fondée sur une approche globale. La méthode scientifique dite "en double aveugle" permet de tester l’efficacité d’une substance "contre placebo". Cette méthode souffre de nombreuses limitations. Par ailleurs, notre objectif n’était pas de tester l’une ou l’autre substance, mais de comprendre les différentes implications de la maladie. Avec une vision holistique, nous avons rencontré les patients et leurs proches, au cas par cas.
Les patients ont été suivis par anamnèses, bilans au Physioscan et adaptation régulière du traitement.
Les méthodes utilisées ont visé le plan psycho-émotionnel, le rééquilibrage énergétique, et le soutien physico-chimique.
Premiers résultats :
Au-delà de l’approche individualisée, de nombreux points communs apparaissent :
* concernant l’état général du patient :
le manque d’oxygénation général
le manque d’exercices physiques
des troubles cardio-vasculaires, surtout artériels
une carence alimentaire en oméga 3
une carence en minéraux, oligo-éléments et vitamines
un ou plusieurs événements de vie très douloureux et souvent anciens (morts d’enfants, par exemple,...)
une confiance aveugle dans le diagnostic médical avec terrible conflit de diagnostic qui fige le patient et ses proches dans un pronostic désastreux sans possibilité d’amélioration et avec accélération de l’aggravation des symptômes
une vaccination anti-grippe annuelle depuis plusieurs années
un entourage familial et/ou amical qui s’attend à voir la personne se dégrader (effet Pygmalion) suite à l’annonce du diagnostic
* concernant l’attitude du corps médical / soignant conventionnel :
le manque de tests probants, y compris en imagerie médicale
le besoin d’établir un diagnostic "à tout prix" pour des troubles bénins liés à l’âge
des examens psychologiques effectués dans des conditions de stress pour le patient
une prescription presque constante d’antidépresseurs
l’absence quasi totale de conseils hygiéno-diététiques
* concernant les accompagnants / la famille :
une surenchère des observations subjectives de dégradation concernant "leur" malade
le scepticisme de nombreux accompagnants concernant les possibilités d’amélioration
l’étonnement quant à la gravité relative du diagnostic après explications et démonstration objective de l’état réel du patient
l’influence psychologique directe sur l’état du patient en fonction du changement d’attitude de l’entourage : observer la personne avec objectivité sans attente et en fonction des possibilités liées à l’âge (de petits oublis et des petits changements de caractère sont normaux chez la personne âgée,...)
l’influence positive de l’encouragement de la personne à chaque moment.
Notre approche a démontré les améliorations suivantes (niveaux physique et psycho-émotionnel) :
élimination de l’apathie avec suppression totale des antidépresseurs
diminution significative de l’hypertension artérielle avec diminution voire suppression des antihypertenseurs classiques
réoxygénation du cerveau par amélioration de la circulation artérielle encéphalique et générale avec l’exercice physique
reprise de l’activité journalière normale avec regain d’autonomie
estime de soi retrouvée
possibilité de nouveaux acquis (informations générales, nouvelles rencontres,...)
implication positive et soulagement de la famille et des proches.
reprise de l’espoir d’amélioration voire de guérison chez l’entourage avec retour de la joie de vivre chez tout le monde.
Ces premiers résultats prometteurs remettent en question jusqu’au diagnostic de "maladie d’Alzheimer" lui-même *. A se demander s’il n’y avait pas - à chaque fois - "erreur de diagnostic"
Peu importe ! Des solutions existent. Elles sont disponibles.
La précocité d’une prise en charge alternative et complémentaire améliore le pronostic de façon spectaculaire.
Notre étude se poursuit. Notre approche se veut complémentaire. Nous espérons que ces premiers résultats mèneront notamment le milieu médical à avoir une vision plus ouverte, afin de venir en aide à ces personnes.
La dégénérescence neurologique est inéluctable et complexe. C’est en unissant nos efforts que l’on pourra efficacement accompagner ces patients et leurs proches. C’est en tous cas notre objectif !
septembre 2011
* peu de temps après notre première publication (janvier 2010), nous apprenons la parution de l’étonnant livre du Dr Peter Whitehouse "Le mythe de la maladie d’Alzheimer" qui confirme plusieurs de nos observations en allant encore plus loin... Bonne découverte !
et merci de faire connaître nos travaux, pour prévenir autant que possible la maladie et pour soigner de façon efficace.
"Malheur a celui qui s’est tu parce qu’il croyait parler dans le désert"
Balzac
et aussi
« C’est pour cette liberté que je me bats, non pour la destruction du dogme, sachant qu’on ne peut faire douter les "croyants" que ce soit en religion, en science ou en médecine. » Jean DORNAC